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Itw - Axelle B

 
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Décris-nous tes facettes !
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Je m'appelle Axelle, j'ai 45 ans et j’ai crée il y a dix ans le tout premier service de location de robes de soirées à Paris.

Et en dix ans, je me suis mariée et j’ai eu trois petites filles. Et aussi, je suis fan de danse !

Peux-tu nous raconter ton parcours ?
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J’ai fait une école de commerce, et j’ai commencé à travailler dans le conseil car j’avais encore besoin d’apprendre et je ne savais pas quel secteur choisir. L’avantage de ce métier c’est que cela m’a permis de faire de grands voyages entre différentes missions !

Puis, j’ai choisi de m’orienter dans la communication événementielle, mais rapidement j’ai un peu manqué de sens.

Mon moteur, c’est d’écouter mes manques.

Alors je suis partie travailler dans le milieu des fondations d’entreprises.

C’était un compromis idéal pour moi : à la fois du sens dans le projet, mais avec les méthodes et les moyens de l’entreprise. Trois années passionnantes, très enrichissantes !

Mais au bout de ces trois ans, j’ai ressenti une frustration…

 
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‘‘Mon moteur, c’est d’écouter mes manques’’

 
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Et alors… un déclic ?
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En réalité, pour une question de réorganisation il fallait que je quitte la Fondation. J’avais le bon CV et le réseau pour continuer dans ce secteur mais je connaissais aussi le risque d’arriver face aux mêmes frustrations au bout de trois ans, avec la même envie de changer, de bouger.

Alors je me suis demandé : avant, comment je me voyais quand je serais grande ?

Et là j’ai réalisé que c’était maintenant que je pouvais entreprendre!


Est-ce qu’entreprendre a toujours été une évidence pour toi ?
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Je ne me suis jamais vue comme une directrice marketing ou communication d’une grosse boîte, mais à ma tête de ma boîte, ça oui ! Ça c’était évident. Un jour, je me suis dit, c’est le moment !

 
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“Alors je me suis demandé : avant, comment je me voyais quand je serais grande ?!”

 
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Quels sont tes défis aujourd’hui ?
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Aujourd’hui, le marché de la location s’est démocratisé, ce qui est une bonne chose. Du coup, il y a plus de concurrence, de nouveaux acteurs sont entrés sur le marché.

On fête cette année les dix ans de Mabonneamie et il va se passer plein de choses !

Maintenant que l’usage de la location est entré dans les habitudes des femmes, notre projet est de nous développer sur les grandes villes de France, mais aussi à l’étranger.

On a fait l’année dernière un gros travail sur l’outil digital pour lui permettre de faire de la location et de la vente. On est en train de le déployer pour nos clientes, mais aussi pour les marques elles-mêmes, qui s’intéressent aujourd’hui à la location, afin que Mabonneamie devienne vraiment la plateforme de la location.

C’est le grand défi des prochaines années !

Quels sont tes boosters pour avancer dans tes projets ?
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D’abord, la liberté ! Dans le salariat, j’en manquais tellement.

Et cette liberté, j’en ai bien profité car j’ai pu avoir trois petites filles tout en menant cette aventure.

Toutes mes amies salariées trouvaient cela très difficile de jongler entre le travail et leurs enfants, et moi j’avoue que j’ai trouvé ça presque facile… Je pouvais organiser mon temps en toute liberté, partir pour un médecin quand il le fallait, plus vraiment de frontière entre le weekend et la semaine.

Mais du coup cela m’a permis d’être là pour les deux, mon entreprise et ma famille.

Cette liberté, c’est un vrai moteur !

Avant, dans mes jobs salariés, parfois je n’avais pas l’impression de produire une vraie valeur ajoutée personnelle. Aujourd’hui c’est le cas, et voir que chaque action peut produire un résultat immédiat est un vrai booster pour avancer chaque jour.

 
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“En fait la confiance en soi, c’est s’écouter, suivre son intuition”

 
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Quelle est ta définition de l’audace ?
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L’audace, c’est ne pas avoir peur, se lancer, foncer. Parfois on fonce dans un mur, mais on y va !

Elle vient du fait qu’on s’écoute. Il faut se faire confiance. Souvent les femmes en manquent. Ou alors leur ambition est dénigrée, on dit qu’elles ont trop d’égo.

En fait la confiance en soi, c’est suivre son intuition. Et les femmes sont pourtant tellement intuitives !

Donc il faut s’écouter !

Les femmes ont moins peur de l’échec, elles peuvent foncer. Même quand ce n’est pas raisonnable. C’est un énorme moteur, la confiance.

Enfant, j’avais une idée de moi plus grande, et cette idée reste ancrée en moi. Je me suis beaucoup ennuyée pendant mon adolescence. J’habitais un petit village à la campagne, il n’y avait pas grand-chose à faire, tout était compliqué. Et donc j’ai beaucoup rêvé, et imaginé ce que je ferais quand je serais grande. Et ça, ça reste en moi. Toutes mes envies, j’ai bien l’intention de les réaliser !

Potentiellement, je pourrai faire quelque chose de très différent dans dix ans, car la nouveauté me stimule !

 
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“Les femmes ont moins peur de l’échec, elles peuvent foncer.”

 
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Finalement, quelle est ton ambition ?
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Je voudrais continuer de me dire que j’ai écouté l’adolescente que j’étais, et tous ses rêves. Et que je vais continuer à les réaliser !

Ils tiennent tous à l’entrepreneuriat, mais dans des secteurs très variés.

Et je voudrais montrer à mes filles qu’on peut être multiple. On peut changer, se réinventer, c’est la richesse de la vie !



Parle-nous du parfum.
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Autant le vêtement peut se prêter, et s’accorder à la personnalité de chacun, autant le parfum est très intime. Je le dépose sur la peau directement, sur les points de pulsation.

Mon parfum m’accompagne tellement que je ne le sens pas, mais il me définit. Je suis très fidèle à mon parfum. On me reconnait à mon parfum et j’aime ça.

Quand le parfum devient trop connu, je change. Mon parfum doit être unique pour moi.

Je portais Chance de Chanel pendant des années, et j’ai arrêté car je croisais trop de personnes qui le portaient.

J’aime l’idée d’être l’une des rares à l’avoir.